La 6ème mandature de la Haute Autorité de l’audiovisuel et de la Communication (HAAC) a procédé hier mardi à l’ouverture de sa 2ème session ordinaire au titre de l’année 2019. L’examen de plusieurs rapports est donné à lire par le président de la HAAC et ses conseillers.
Rémi PROSPER MORETTI: » le rapport relatif à la fin de mandat de certains responsables de l’ORTB, le rapport relatif à la demande d’autorisation de distribution de service de communication audiovisuel par les opérateurs de téléphonie mobile de normes GSM, le rapport sur le cas de contrôle du spectre radio électrique de la HAAC, le rapport relatif à l’organisation des journée porte ouverte de la HAAC, le rapport relatif à la relance du bulletin d’information de la HAAC dénommé le « régulateur »
Le rapport relatif à l’organisation d’un séminaire d’évaluation sur l’accès équitable des partis politique, des associations et des citoyens au médias de service public, le rapport relatif à la procédure d’appel à candidature pour la proposition à nomination par le chef de l’État en conseil des ministre des responsables des organes de presse et de service public, le rapport relatif à la confession et la délivrance imminente de la carte de presse, des rapports relatif à des plaintes et auto-saisine. Une occasion aussi pour la HAAC de se pencher sur les élections municipales à venir et pour une presse libre et responsable, le président de la HAAC est partisan.
Rémi PROSPER MORETTI: « Sur le terrain, les signes annonciateur de préparation de ces joutes électorales sont déjà visible. Les conseillers et le personnel administratif de la HAAC veilleront à ce que la période qui précède celle de la campagne médiatique officiel fasse l’objet d’une décision, d’un suivi rigoureux par la planification des activités de formation, de sensibilisation et de suivie des contenues des médias.
Pour une jeune démocratie comme celle de notre pays la position des médias est prestigieuse car stratégique mais elle est aussi périlleuse d’autant plus que le journaliste porte parole pour autoproclamé contrairement à l’élu ne peut construire sa légitimé que sur sa crédibilité. Sa liberté ne peut s’exercer que s’il est un bon professionnel qui se réfère toujours à la déontologie de son métier ».