L’état-major général de l’armée et l’ambassade de France et les bureaux de la primature au Burkina Faso ont été attaqués, vendredi dans la matinée, par des individus non encore identifiés.
Un immense nuage de fumée noire se dégageait du ciel bleu azur, cette matinée du vendredi 2 mars, aux abords de l’état-major général des armées. Sur l’avenue de la Nation, les motos filaient, avec à leur bord des Burkinabés apeurés, agitant les bras pour dire aux quelques curieux posés au bord des routes de Ouagadougou, la capitale du Burkina-Faso, de fuir. L’explosion a été d’une violence extrême. Des béninois résidents dans la capitale burkinabé ont été aussi pris au piège par les assaillants. Pascaline AGBOKA, béninoise en séjour à Ouagadougou a vécu la scène en direct. Elle raconte cette malheureuse situation.
Aussi, Grégoire BANI BANGNAN, étudiant béninois à Ouagadougou a eu la vie sauve ce vendredi grâce à ses voisins. Il raconte
Dans cette attaque terroriste, on dénombre une trentaine de morts des centaine de blessés dont certains par bal.